Comment sont fabriqués les sextoys chez Délices Défendus ?

Coucou tout le monde ! 😊

 

On sait que vous attendiez ce blog avec impatience, alors le voilà enfin !  Installez-vous confortablement, on va vous expliquer comment sont fabriqués nos sextoys, avec sérieux, passion… et un peu de bonne humeur bien sûr.

 

Soyons totalement transparents : au début, on hésitait un peu à vous montrer l’envers du décor. Pas parce qu’on a honte, mais parce que nos moules ne sont pas les plus jolis du monde. 😅 Ils ne sont pas "instagrammables", comme on dit, et on voulait garder un peu de magie autour de nos créatures fantastiques.

 

Mais très honnêtement, la qualité est là, et c’est ce qui compte. On les a déjà montrés à plusieurs de nos client·es les plus curieux, et les retours ont toujours été bienveillants. 💜

Au départ, c’était surtout une question d’image de marque : on trouvait ça plus sympa que vous gardiez en tête nos designs féeriques et mystérieux, plutôt que de vous dévoiler l’aspect plus technique et brut de la fabrication.

 

Mais comme beaucoup d’entre vous nous ont demandé, on a décidé de tout vous expliquer, étape par étape. 🎬

En commençant par le commencement, les règles d'hygiène !

 

On est tous équipés pour faire des jouets !

 

On a :

- Des gants en nitrile, pour éviter la contamination du silicone (le latex interagit avec le silicone)

 

- Une blouse blanche en coton, qui ne sort jamais de l’endroit où on fait les toys et est stockée dans une armoire quand on ne la porte pas (pour faire croire qu’on est chirurgiens)

 

- Des masques FFP2 (on en a des tonnes depuis le C-word, il faut bien leur trouver une utilité)

 

- Des charlottes, pour ne pas faire tomber nos cheveux dans les moules

 

On respecte scrupuleusement toutes les règles suivantes :

 

- On ne mange/boit pas dans la pièce où on fait les toys, on ne fume pas non plus

 

- La pièce est tout le temps fermée si on n’y est pas, sauf 15 minutes, 3 fois par jour, sous surveillance pour aérer. Aucune coulée n’est réalisée/en cours pendant ce temps, pour éviter des contaminations extérieures

 

- On travaille sur un plan en acier inox, qui est facile à nettoyer à l’alcool isopropylique et qui n’est pas poreux (contrairement au bois qui retient l’humidité et les bactéries). Vous verrez qu’on n’aime pas trop les trucs poreux par ici.

 

- On passe notre temps à se laver les mais, pendant au moins une minute, dans une autre pièce que celle ou on fait les jouets

ET AUSSI...

Vous allez voir à quoi ressemblent nos moules ! (pour ceux qui ne sont pas sur discord)


Et vous remarquerez tout de suite qu’ils ne sont ni en silicone, ni imprimés en 3D.
Les nôtres sont en cuivre. Mais attention : pas du cuivre brut, qui ne serait pas sûr pour le corps.

 

Tous nos moules sont traités avec une technique professionnelle appelée nickelage chimique.


Ça paraît très technique dit comme ça, mais en réalité, ça veut simplement dire qu’une fine couche de nickel est appliquée sur la surface du moule.

Ce traitement empêche toute réaction chimique entre le cuivre et le silicone, ce qui garantit que chaque sextoy qui sort de nos moules est parfaitement sûr pour votre corps ❤️


Le silicone ne se dégrade pas, il reste stable, pur, et fidèle à sa composition d’origine.

Pourquoi nous moules sont comme ça ?


On les achète comme ça aha, c’est tout.

 

Mais ça a plein d’avantages ! C’est tout d’abord plus durable (heureusement), donc ça permet d’enchaîner les sextoys (après le nettoyage intégral des moules bien sûr). 

 

Ils sont ultra lisses, non poreux et durs, cette surface réduit naturellement l'adhérence du silicone, ce qui nous évite d'avoir a utiliser un agen démoulant (contrairement aux moules imprimés en 3D par exemple, qui eux sont poreux) de plus le nickel est naturellement anti-adhérent, c'est vraiment le top pour le démoulage !

 

Ils supportent également de plus hautes températures (jusqu’à 300 °C), ce qui est largement supérieur à la température de la post-cure du silicone platine !

 

Ils sont plus faciles à nettoyer. En réalité, leur seul réel inconvénient est qu’ils sont un peu moches. Leur prix est plus élevé aussi, mais il est amorti par leur durabilité.

Bon allez, assez parlé, on vous montre comment on fait les choses ! 😄

Qu'est-ce qui se passe dans cette vidéo ?

 

Vous voyez bien que dans cette vidéo, on pèse deux liquides… mais c’est quoi ces liquides visqueux ?

 

Eh bien, c’est tout simplement la base de nos jouets :D


Le silicone platine est composé de deux composants :

 

Le liquide blanc transparent : c’est tout simplement le silicone ! Il est translucide, c’est sa couleur de base, ce qui est top, car son absence de couleur nous permet d’avoir de belles teintes lorsqu’il est mélangé avec le pigment contenu dans le second liquide. Il ne durcit pas de lui-même, c’est pour ça qu’on doit lui ajouter un deuxième liquide dans notre fameux mélange.

 

Le liquide rose : c’est le catalyseur au platine ! (le platinum cured)
Ici, il est déjà teinté de la bonne couleur : un rose bonbon qu’on aime tant !
Mettre le pigment dans le catalyseur a plusieurs avantages : on évite la contamination accidentelle du silicone par les pigments, et ça nous permet aussi de stocker du silicone "pur" en grande quantité plutôt que d’avoir plusieurs petites réserves de silicone coloré.

 

Pour information, les béchers que nous utilisons sont en polypropylène (PP).
Le PP présente plusieurs avantages :

 

- Il est résistant à la chaleur jusqu’à 120°C

 

- Il ne réagit pas avec le silicone, le catalyseur, l’alcool isopropylique ou les pigments utilisés pour colorer le catalyseur

 

- Le silicone ne colle pas au polypropylène 

 

- Il est très résistant et léger (et croyez-moi, quand vous en mettez 10 sur un plateau pour les mettre au four, et qu’en tombant ils vous tombent dessus, vous êtes bien contentes qu’ils soient légers 😅)

 

- Et surtout… il est pas cher ! 😄

 

Vient ensuite le mélange

 

Le mélange est une étape cruciale dans la création d'un jouet, c'est le moment où la magie opère ! ✨

 

Il est IMPÉRATIF d'obtenir un mélange parfaitement homogène à cette étape. Il faut que le catalyseur soit réparti uniformément dans tout le silicone, afin de garantir une bonne polymérisation (réaction chimique qui transforme les petites molécules en chaînes longues et solides, appelées polymères, dans le milieu du sextoy, on appelle cette polymérisation réticulation. Ce n'est malheureusement pas pour invoquer le Dragon Ultime aux Yeux Bleues).
Sinon, la texture du jouet final ne sera pas homogène, et vous pouvez vous retrouver avec des parties plus dures, des parties molles, et des endroits où le silicone n'a pas pris du tout.

 

De plus, le mélange permet de réduire la quantité d'air emprisonné dans le mélange, et donc de réduire les bulles ! À savoir que la présence de bulles dans le jouet le rend quasiment inutilisable : la présence de bulles crée des zones de fragilité, rendant le jouet plus fragile et plus apte à se déchirer. C’est aussi, évidemment, un défaut esthétique… un jouet plein de grumeaux, c’est peu ragoûtant non ? 😬

 

Mais le principal problème est lié à l’hygiène. En effet, si une bulle se trouve en surface ou proche de la surface, cela peut former une irrégularité au niveau de la surface, ce qui rend le jouet poreux, et le rend plus apte à retenir des fluides ou des saletés, encourageant la prolifération de moisissures 🦠

 

En gros, vous avez payé un jouet en silicone, et vous vous retrouvez avec un jouet qui retient autant la saleté que le TPE… ce qui serait tout de même dommage 😅

Vous l’avez compris, le mélange est hyper important. Certains le font à la spatule en bois, mais nous, on est un peu plus Rock&Roll 🤘

Le fouet est en acier inoxydable, un métal inerte (qui a une réactivité chimique nulle) qui n’inhibe pas la polymérisation et qui ne rouille pas. Il est uniquement utilisé pour mélanger le silicone, et est lavé à l’alcool isopropylique après chaque utilisation !

 

C’est l’étape préférée de Thomas, aha 😄 Mais bon, vous l’avez compris, ici, le but c’est de bien mélanger afin d’avoir un mélange homogène et de laisser s’échapper un maximum de bulles possibles !

 

Mais pour être bien sûrs qu’il n’y a plus aucune bulle dans le mélange, on passe ensuite à une autre étape cruciale : le dégazage ! 💨

Le dégazage

 

Je vais insister encore une fois dessus, mais c’est super important qu’il n’y ait plus aucune bulle dans le mélange. Donc même si vous mélangez de toutes vos forces 💪, c’est indispensable d’utiliser une chambre à vide pour dégazer !

 

Bon, malheureusement, la nôtre ne nous permet pas de filmer le processus de dégazage qui est pourtant assez impressionnant (elle n'est pas transparente), donc c’est peut-être mieux de vous montrer à quoi ça ressemble ! 👀

 

Source : YouTube – https://www.youtube.com/watch?v=bbSvzD8g_S0

Une chambre à vide, ça fait quoi ?

 

En gros, on fait chuter très rapidement la pression atmosphérique dans un lieu clos. Les bulles se dilatent donc très vite, elles gonflent rapidement, ce qui les fait brusquement remonter à la surface, où elles éclatent les unes après les autres. C’est ce qui fait ressembler le mélange à un cachet effervescent dans du Coca-Cola: le silicone est en train de se purger de toutes ses bulles.

 

Une fois la pression atmosphérique revenue à la normale, le mélange redevient dense, homogène et parfaitement lisse✨

 

Et UNIQUEMENT à cette étape, on sait qu’il n’y a plus une seule bulle dans le mélange !

 

👉 Au risque de me répéter, je tiens à rappeler l’importance d’éliminer les bulles dans le mélange :

 

- Éviter les défauts du jouet : une bulle qui éclate au démoulage, et votre toy est bon pour la poubelle 

 

- Garantir la solidité : une bulle cachée, c’est comme une fissure dans une maison. Ça ne pose peut-être pas de souci au début, mais du jour au lendemain, tout peut s’effondrer 

 

- Assurer l’hygiène et la sécurité : les bulles proches de la surface créent des zones poreuses qui peuvent retenir fluides, bactéries, saletés… Résultat : un jouet qui devient un nid à microbes et moisissures (ceux qui ont déjà eu des jouets en TPE savent à quelle vitesse ça moisit 🤢)

 

- Préserver les détails et textures du moule : si une bulle se coince dans un recoin du moule, le silicone ne s’y propage pas correctement, et vous vous retrouvez avec un jouet aux détails mal formés, ou avec des cavités internes moins stimulantes 😕

 

 

Le coulage

 

C’est l’étape où on donne vie à la magie ✨

Il y a quelques petites choses à savoir, mais ce n’est pas très compliqué !

Il y a juste quelques petits tips que je vais vous donner, le but c’est D'ÉVITER LES BULLES (eh oui, encore 😅)

 

Pour commencer, on se met à 10 à 20 cm du moule, histoire que les micro-bulles potentielles se cassent en tombant. Et puis on verse en fin filet, LENTEMENT, et TOUJOURS au même endroit. Pourquoi ?

 

POUR LES BULLES !!!! Eh oui, c’est super important, vraiment. Vous n’imaginez pas le nombre de jouets qu’on a dû jeter à cause de ça… Et ça nous arrive encore occasionnellement (très rarement, mais c’est super important d’être très vigilant à cette étape, car un jouet raté, c’est juste une perte de temps et de matériel et donc d'argent, et nous on aime bien l'argent quand même :3).

 

Le but ici, c’est de laisser le silicone remplir le moule de lui-même, pour qu’il chasse l’air en le faisant remonter à la surface. Pour les plus gros jouets ou les moules très détaillés, on peut, juste après cette étape, remettre le moule au dégazage. Mais ça salit la chambre à vide (comme vous avez pu le voir dans la vidéo précédente, le silicone remonte et les bulles le projettent un peu dans tous les sens), et en plus de ça, il vaut mieux éviter de trop déplacer le moule une fois que le silicone est coulé, afin de ne pas créer de vibrations…

CE QUI POURRAIT RE-CRÉER DES BULLES D’AIR 😤


Et comme vous l’avez compris… ici, on déteste les bulles d’air.

La fin ?

 

Pas tout à fait, mais on a fait le plus dur ! 💪

 

Si vous avez respecté toutes les étapes, alors c’est bientôt fini.

 

Vient maintenant l’étape finale de la création du jouet : la réticulation, la transformation du silicone liquide en sextoy solide 

 

En réalité, elle a déjà commencé au moment où on a mélangé le silicone et le catalyseur. Mais pour les jouets professionnels, on utilise un silicone qui met plusieurs heures à prendre, contrairement au silicone que vous pouvez acheter en ligne, comme dans les kits pour faire son propre sextoy, qui eux prennent en moyenne 15-20 minutes !

 

Un long processus de réticulation nous permet de bien prendre notre temps pour le dégazage et le coulage ! Plus on prend notre temps, moins il y a de... ? De bulles ! 

 

Nous, on l’accélère au four, en chauffant le moule à 80 °C pendant deux à trois heures : c’est ce qu’on appelle la post-cure.

 

Les avantages d'utiliser un four  :

 

- Le silicone durcit plus vite, et comme on a qu’un seul moule par jouet, ça nous évite de patienter entre 12 et 24 h sans pouvoir travailler sur un nouveau jouet 

 

- La chaleur pousse la réaction chimique à aller jusqu’au bout : le silicone est mieux réticulé et plus stable chimiquement, la texture est plus homogène et plus durable

 

- Certains sous-produits de la polymérisation sont évacués plus efficacement et plus rapidement

 

Il n’y a pas vraiment de désavantages, si ce n’est financier ou écologique (consommation d’énergie), mais c’est le coût pour avoir un jouet parfaitement fini. On a l’avantage d’avoir des moules solides, donc pas de risque de déformation à cette étape !

 

⚠️ Attention néanmoins : il est INDISPENSABLE d’utiliser un four stable et précis, afin de contrôler la température. Si c’est trop chaud, le silicone peut se dégrader.
De plus, afin d’éviter toute contamination, il est nécessaire d’avoir un four qui est uniquement utilisé à des fins de production de jouets en silicone. Donc oubliez vite le four de cuisine ! 

 

Le démoulage

 

Une fois que le moule a refroidi (une fois, j'en ai touché un directement sorti du four, j’ai eu une énorme cloque pendant 2 semaines 😵), on démoule.

 

Ici, nos moules en cuivre posent un petit problème : pour démouler nos jouets, on doit être deux, un qui tient le moule par en bas, et un qui tire par-dessus. Et vous filmer ça, ça impliquerait de montrer nos visages… et pour l’instant, on est très bien dans l’anonymat 😄

 

Donc voici une reproduction de ce à quoi ça ressemblerait si on avait une force surhumaine !

Si vous avez suivi, vous vous êtes rendu compte que c’est une PINKIE PIE, alors que le jouet sur lequel on travaillait, c’était une AMY ROSE. Bien vu si vous l’avez remarqué ! 😄 

 

Mais pour l’instant, AMY est en train de “cuire” : cette vidéo, c’est juste pour vous montrer à quoi ressemble un jouet sorti du moule ! Comme vous le voyez, il peut arriver que le jouet doive être un peu retravaillé. Dans ce cas-là, rien de plus simple : on coupe ce qui dépasse ! Et voilà, vous avez maintenant fini de faire votre jouet en silicone ! 

 

Il ne nous reste plus qu’à le laver, laver tous les ustensiles et aussi le jouet lui-même !

 

Pour les moules, c’est en quatre étapes :

 

- Une fois le moule froid, on utilise un chiffon non pelucheux (microfibres) pour nettoyer grossièrement les restes de silicone visibles sur le moule.

 

- Vient ensuite l’alcool isopropylique à 99 % : on imbibe un chiffon en microfibres et on nettoie soigneusement les parois intérieures et extérieures du moule, en insistant bien. Pour les petits détails, on utilise un coton-tige lui aussi imbibé d’alcool isopropylique. On utilise ce produit parce qu’il ne laisse aucun résidu chimique, dissout très bien les résidus de silicone, poussière ou graisse des doigts, et s’évapore complètement. Il ne laisse donc aucune trace, en plus d’être sans danger pour le moule et d’être un puissant antibactérien et désinfectant.

 

- On utilise de l’air sec pour retirer jusqu’à la moindre particule invisible.

 

- Puis on le laisse sécher 10 minutes à l’air libre et on le stocke dans un endroit propre.

 

Pour les ustensiles :

 

- On laisse le silicone durcir dans les béchers avant de le retirer. Essayer de le nettoyer pendant qu’il est encore mou, c’est juste le meilleur moyen d’étaler du silicone partout dans le bécher 😅

 

- Une fois sec, après la réticulation, il se décolle en bloc, car il n’adhère pas au PP, le matériau dont est composé le bécher. Pour accelerer la réticulation, on peut les mettre au four 

 

- Et le moule est déjà réutilisable ! Mais pour être sûr d’enlever tous les résidus restants, on utilise notre meilleur ami : l’alcool isopropylique 🧪 ! On frotte doucement avec un chiffon microfibre, et une fois que c’est bon, on laisse sécher à l’air libre !

 

Pour les jouets :

 

- On laisse le jouet “respirer” pendant 15 minutes après le démoulage. On en profite pour enlever les gants et se laver les mains !

 

- Puis on le rince à l’eau tiède afin de retirer la poussière, les peluches éventuelles et les résidus les plus gros.

 

- Ensuite, on utilise un savon doux au pH neutre, sans additif. On frotte bien partout, intérieur, extérieur, dans tous les recoins, pendant au moins 10 minutes. Une fois qu’on est sûr que le jouet est bien propre, on rince à nouveau abondamment à l’eau tiède puis on sèche bien partout avec un nouveau chiffon microfibre.

Pour ceux qu étaient déçus de pas voir une AMY être démoulée, on vous met une petite vidéo ! Si vous avez l'oeil, vous avez vu que la partie du moule qui fait les cannaux interieurs des jouets n'est pas présente dans les vidéos de démoulages, c'est normal on peut les enlever pour les néttoyer plus facilement ! et comme dit précédement, c'est une "fausse" vidéo de démoulage, on à enlevé cette partie pour ne pas abimer le toy en simulant le démoulage !

On est le lendemain... et regardez-moi ça 😍 ! AMY est enfin prête, toute belle, toute douce, toute brillante !


Franchement, j’adore ce jouet, ce rose profond, presque sucré, combiné à cette texture ultra lisse… c’est un vrai plaisir à manipuler. On est toujours super fières quand un jouet sort aussi bien du moule, c’est notre petite récompense après tout ce taf minutieux.

 

Bon, soyons honnêtes… on n’est pas parfaites. On fait de notre mieux, on apprend tous les jours, on améliore nos process, notre matériel, notre hygiène, notre précision... mais il nous arrive encore de faire des erreurs, d’avoir un peu de gaspillage, ou de découvrir qu’on aurait pu faire mieux. On fait ça avec passion, avec sérieux, mais aussi avec beaucoup d’humilité.

 

Donc si jamais des pros du silicone ou des gens expérimentés passent par ici : franchement, n’hésitez pas à nous écrire, à nous conseiller ou à nous faire des remarques constructives. On est curieuses, ouvertes, et toujours prêtes à apprendre ! 🙏

 

Et maintenant, après la création, vient la dernière étape : l’emballage et la livraison 📦


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