Le soleil décline sur l’horizon, baignant la ferme d’une lueur dorée. L’air sent la paille chaude, le cuir, et un parfum plus animal… plus intime. Cassia est là, dans l’écurie silencieuse, couchée sur la botte de foin où tu viens de l’honorer.
Son vagin luisant garde encore les traces de ton plaisir. Tu viens d’éjaculer en elle, profondément, avec une intensité sauvage que tu ne t’attendais pas à ressentir aussi fort. Elle a serré ta queue jusqu’à te faire perdre la tête, chaque coup de reins déclenchant des contractions qui te maintenaient prisonnier, comme si elle refusait de te laisser sortir tant que tu ne l’avais pas entièrement remplie.
Tu t’écroules à côté d’elle, haletant, trempé de sueur. Mais Cassia n’en a pas fini avec toi.
Elle te regarde, les naseaux frémissants, le regard brûlant d’un désir insatiable, comme si cette première étreinte n’était qu’un prélude. Lentement, presque avec une tendresse déroutante, elle descend son museau entre tes jambes.
Tu es encore sensible, ta queue humide, luisante de sperme, tremble à la moindre caresse de l’air. Et pourtant, Cassia ouvre sa bouche, large, chaude, souple.
Elle t’engloutit. D’un seul coup.
Ses lèvres élastiques se referment autour de ton gland, créant une première succion douce mais ferme. Puis vient sa langue, large et râpeuse, qui t’enveloppe dans un massage glissant, remontant le long de ta hampe avec un soin presque amoureux. Sa bouche est une cavité humide, chaude, glissante, conçue pour ne rien laisser s’échapper.
Tu veux fuir, tu veux respirer, tu veux juste arrêter de jouir, mais Cassia te tient fermement. Sa gorge s’ouvre peu à peu, t’avalant plus profondément à chaque va-et-vient.
Ses mouvements sont fluides, précis, rythmés, comme si elle savait exactement comment déclencher en toi une seconde explosion. Elle te tête avec faim, mais aussi avec un sens du contrôle qui te rend fou. Chaque succion est plus forte, plus exigeante. Et toi, tu te tends à nouveau, incapable de résister.
Tu gémis, tu craques, tu rejouis une deuxième fois, profondément, dans cette gorge humide qui ne relâche rien. Elle continue de pomper, lentement, longuement, jusqu’à te vider jusqu’à la dernière goutte.
Quand enfin elle te relâche, ta queue retombe, épuisée, tremblante, et Cassia se redresse en silence, un filet de sperme coulant de sa bouche entrouverte. Elle te regarde. Elle sait ce qu’elle t’a fait.
Et toi, dans cette écurie silencieuse, couché sur le foin, vidé de toute force… tu sais que tu reviendras.
Tu n’étais qu’un invité dans son étable. Maintenant, tu es à elle.
Laisse-toi reprendre, encore et encore, par sa bouche affamée.
🐴 Cassia t’attend. Elle se souvient de ton goût. Et elle en redemande.
Commandez maintenant et offrez-lui ce qu’elle réclame.