Je m’appelle Thomas, et je savais que ce masturbateur inspiré d’Ankha n’allait pas être un simple jouet. Dès que je l’ai eu en main, je savais que j’allais revivre cette scène qui m’obsédait depuis longtemps, celle qui m’avait marqué la première fois que j’ai vu ce foutu même.
Avant même de commencer, je l’ai observé. Les deux pieds moulés étaient si réalistes que ça en devenait presque troublant : les coussinets rebondis, les arches élégantes, les plis délicats de la peau… tout appelait à être touché. Rien qu’en les pressant légèrement entre mes mains, je pouvais sentir cette fermeté souple qui promettait de m’encercler parfaitement.
Quand j’ai posé mon gland contre l’entrée, j’ai senti un premier frisson. La peau artificielle était douce et légèrement tiède au toucher, comme si elle m’attendait. Puis j’ai poussé lentement. La sensation a été immédiate : les arches fermes se sont refermées autour de moi comme un étau vivant.
Dès les premiers centimètres, mon gland a été pris en sandwich par les coussinets chauds. Le frein frottait contre une zone légèrement plus texturée, créant un petit accrochage délicieux à chaque va-et-vient. La couronne du gland était massée de part et d’autre, comme si deux pouces invisibles la pressaient doucement.
En avançant un peu plus, la pression a augmenté. La base de ma verge a été encerclée par la partie la plus épaisse des arches plantaires. C’était comme si Ankha m’avait coincé, déterminée à ne pas me lâcher. Les stries fines et asymétriques à l’intérieur des coussinets grattaient juste assez pour éveiller la peau sensible, sans jamais blesser.
J’ai commencé à bouger lentement, et chaque retour en arrière faisait glisser les arches sur toute la longueur de ma verge, des veines gonflées jusqu’au bout du gland. La sensation était constante, une pression latérale ferme mais jamais douloureuse, qui donnait l’impression d’être serré par deux surfaces vivantes et chaudes.
Très vite, mon excitation a humidifié l’intérieur. Le lubrifiant a transformé la friction sèche en une glisse moite et chaude, amplifiant chaque détail. Les coussinets semblaient plus mous, plus enveloppants, et le bruit humide qui commençait à résonner dans la pièce ne faisait qu’augmenter mon envie.
Je me suis mis à accélérer. Les “orteils” moulés au sommet frôlaient mon gland à chaque montée, envoyant des décharges dans tout mon corps. Les talons, eux, agissaient comme un verrou, maintenant la base sous une pression constante qui empêchait le sang de redescendre. C’était comme si chaque partie de mon sexe était stimulée simultanément : gland, frein, côtés, base… rien n’était oublié.
À ce stade, mes hanches bougeaient d’elles-mêmes. Chaque coup en avant déclenchait une vague de chaleur, chaque retrait un petit vide frustrant immédiatement comblé. Je n’étais plus dans ma chambre : j’étais dans ce fantasme, coincé entre les pieds d’Ankha, son regard hautain fixé sur moi, m’ordonnant de continuer.
La montée a été rapide, presque brutale. La combinaison de la pression latérale, de la chaleur et des micro-accroches sur le frein a fini par me rendre fou. J’ai tenu encore quelques secondes, juste pour savourer la tension, puis l’orgasme m’a frappé.
Le sperme a jailli par pulsations puissantes, inondant l’espace serré entre les arches plantaires. La pression qu’elles exerçaient a amplifié chaque contraction, me vidant complètement. Je suis resté immobile, haletant, mon sexe encore prisonnier de cette chaleur, incapable de lâcher prise tout de suite.
Et le meilleur ? Une fois repris, le nettoyage a été presque aussi satisfaisant que l’acte. Un simple rinçage à l’eau tiède, un peu de savon doux, et tout était comme neuf, sans odeur ni trace. Séchage rapide, prêt pour la prochaine fois. Parce que, soyons clairs… il y aura beaucoup de prochaines fois.